L’exposition Géométries de l’invisible dévoile une vision inédite du processus créatif en entrant au cœur du réacteur de l’art à travers les dimensions énergétiques de la géométrique.

Dès lors, un tout autre paysage de l’art et de son histoire se révèle.  Un paysage où les œuvres permettent de développer des dimensions cognitives particulières, pour voir que in fine, géométriser, c’est reformuler en permanence nos configurations cosmologiques pour se réinscrire dans l’univers, à la jonction des mondes terrestre et cosmiques. Cette exposition ayant elle-même une dimension ascensionnelle et initiatique. Géométriser c’est prendre la mesure du monde.